Mes critiques

28 octobre 2011

Depuis le temps que je voulais découvrir la saga Bit-Lit / Chick-lit Queen Betsy et depuis le temps que je l’avais dans ma PAL, il était temps que je m’y mette. Ayant beaucoup apprécié la saga Sarah Dearly, de Michelle Rowen, qui est dans le même genre, j’avais moins d’appréhension sur le côté Chick-lit que je n’aime pas du tout! Voici ce que j’en ai pensé...

Le synopsis

Elle voulait juste être la reine du bal...
Elle va devenir la reine des vampires !
À son réveil à la morgue, Betsy Taylor découvre qu'elle est une vampire. Même si sa nouvelle condition possède de nombreux avantages, elle a bien du mal à s'habituer à son régime à base de liquide. Et même si sa mère est ravie d'apprendre que la mort ne lui empêchera pas de lui rendre visite, ses nouveaux amis nocturnes, eux, ont la conviction ridicule qu'elle est la reine annoncée par la prophétie.

Mon avis

Je trouve les livres chick-lit trop superficiels. Je n’ai pas réussi à accrocher aux livres de Sophie Kinsella ni à d’autres auteurs du genre. Donc, j’ai toujours un peu peur quand je commence une saga et détiens quelques références à ce genre.

Après avoir subi une attaque par 5 fous qui ne pensaient qu’à la mordre, Betsy continue sa vie en se disant qu’elle ne retournerait pas de sitôt près de cet endroit. Ayant déjà assez de problèmes avec la perte de son emploi et sa belle-monstre (belle-mère) qu’elle ne peut supporter, pas la peine d’en rajouter. Par contre, un événement assez frappant (haha!) survient… Betsy meurt, ou presque. Se réveillant dans un cercueil (avec d’horribles chaussures bon marché!) elle découvre, en essayant de mourir une bonne fois pour toutes de toutes les manières possibles, qu’elle est finalement une vampire. Comme ce n’est pas assez, il parait qu’elle est la reine annoncée par la prophétie que plusieurs attendaient… mouais, on verra bien!

Betsy est un personnage unique. À la fois trop franche, sûre d’elle et complètement perdue dans ce qui lui arrive, elle réussit à être attachante. J’ai plus ou moins aimé son côté très superficiel. Le « je ferai n’importe quoi pour des chaussures de marque » ne me ressemble pas trop et me désespère dans un livre où l’héroïne doit sauver une bonne partie de sa race et empêcher une guerre.

L’humour est toujours présent, du début à la fin. Que ce soit les remarques entre elle et Sinclair (ou Saint Clair), ses répliques acerbes sur tous ce qui l’entour ou son irrésistible envie de n’en faire qu’à sa tête,  Betsy fera rire plus d’un lecteur. Par contre, de mon côté, il y eut quelques sourires, mais je n’ai pas réellement réussi à me laisser emporter par le tout.

Bref, Queen Betsy est une lecture agréable qui détient tout de même un bon potentiel, mais il m’en faudra plus pour complètement adhérer à l’histoire et à la chick-lit qui est trop présente.

Ma note : 7,5 / 10 (bon, mais sans plus)